dimanche 13 octobre 2013

Bruissements


Et voici, quelques images de l'exposition collective à l'Atelier de la Gare, avec le montage, et le vernissage....

Mon coin, et Laura (Virouleau) qui rajoute sa dernière touche (avec Raphaëlle en fond)
 



Installation du mur commun (non, nous n'avions pas vraiment confiance en l'escabeau...).
















Installation de la pièce de Laura (Hernandez), vous remarquez la présence d'un technicien se prêtant à l'exercice de haute voltige (il vient d'arriver dans l'école, et réfléchit sur le fait de rester ou non depuis le vernissage...), et des profs assurant en bas. Et Quentin présentant sa pièce.

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Ma pièce à moi, qui porte le titre "De ma tempête, je fis le grondement" (je n'avais pas trop d'inspiration sur le moment, et je n'avais pas spécialement l'envie d'apposer "sans titre" non plus, le titre est donc susceptible de changer après) -Techniques diverses, bois de récupération. J'y évoque surtout le son à travers le dessin (donc rien à écouter), notamment en reprenant le principe de sonogrammes, de cartographies et de paysages sonores, avec inclus un "Babel Sound" (référence à trouver... Quelques traductions du langage graphique que j'ai mis en place, et qui est une base de mon travail), une "branche tombée", des définitions, et quelques dessins sonores... 
Pièce qui se fera sûrement exploser en cours d'année en plusieurs parties, je la considère comme un premier pas, une amorce vers la notation musicale (je me suis beaucoup appuyée sur les partitions de John Cage notamment, et d'un livre de Jean-Yves Bosseur). Vous trouverez quelques informations sur la première page d'Autopsie d'une tempête.












Et le reste de l'exposition...


(mur commun, organisé par mes soins, et accroché avec l'aide de quelques uns)





Dans l'ordre... 1ère photo: Aurélie Denis (vitrine),  Sylvain Le Corre (mur de droite), 2ème photo: Antoine Trouvé (cadres), Aurélie Denis (vitrine), 3ème photo: Gaëtan Gautelier (mur de gauche), Delphine Carré (mur de droite), 4ème photo: Raphaëlle Peria.
(Sylvain Le Corre)